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Le Domaine de Guizmo

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12 novembre 2011

Boulversements

 

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Ce soir, je me promenais seule, et c’est en passant devant le square d’Anvers, en regardant ses nouveaux lampadaires briller dans la nuit que je me suis rendue compte à quel point j’avais pris conscience de mon existence sur cette terre. A quel point je la ressentais certes fortement, mais plus douloureusement comme avant. Non, ça n’est plus douloureux. J’ai pris conscience de mon appartenance à un tout gigantesque, mais aussi de mon individualité propre et forte. Et cela m’apaise.

Tout remonte à la semaine dernière et au déferlement de violence qui s’est abattu sur moi, une violence qui, même si l’on y est préparé, surprend et sidère.

Ce sentiment de danger immédiat, qu’en cet instant même, plus rien de rationnel n’entre en jeu, tu as totalement perdu le contrôle. Il sera impossible de raisonner cette violence : elle est brute, ne réfléchit pas, ne ressent pas de compassion. Et si jamais elle s’en prend à toi l’issue de ta soirée est plus qu’incertaine. Cette force que tu croyais là pour te protéger s’en prend maintenant à toi. Tu n’as jamais été aussi vulnérable et sans défenses. Tu es mortelle, tu le sais, et tu le ressens jusqu’au plus profond de ton être.

Pendant cette charge, quelque chose s’est brisé en moi.  Je l’ai senti de la même façon que j’aurais senti un coup de matraque s’enfoncer dans ma chair, c’était bien plus qu’une sensation.

Mais cette rupture n’est en rien mauvaise, pour la première fois de ma vie je me sens enfin en paix avec moi-même. Comme si la violence que j’ai vu se déchaîner et que j’ai subi de plein fouet avait vampirisé toute celle que je portais en moi. Je suis calme, parfaitement calme, sereine, et je n’ai plus peur. Le petit enfant perpétuellement apeuré qui se cachait en moi vient enfin de voir ses angoisses apaisées. Ma colère, sentiment des plus arbitraire, violent, et sans véritable motivation ni destinataire précis ; s’est transformée en une révolte bien orientée. Je ne perds plus mon temps et mon énergie à être en colère, mais je me révolte pour des causes qui en valent la peine.

 

 Cette soirée aura duré à peine quelques heures, mais j’ai l’impression d’avoir pris mille ans durant ces quelques centaines de minutes.

 

 

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12 septembre 2011

C'est l'histoire d'un mec...

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ZicMu : Blue Foundation- Ghost

Aujourd'hui je vais vous parler d'un mec.

Ce mec si un jour vous le cherchez dans mon répertoire il faudra le chercher à D. D comme Dieu.

Dieu c'est un peu tout en même temps. De la joie au rire, de l'agacement à la colère, du coup de blues à la tristesse, de l'explosion de joie au bonheur absolu.

Dieu, c'est le mec qui a réussi à me faire ressentir tout ça et même parfois à me faire passer de la tristesse à l'explosion de joie (et vice versa).

Mais Dieu c'est aussi et surtout le mec qui a toujours été là. Depuis le jour où on s'est rencontré. C'est à dire depuis le 16 juillet 2006, très exactement (non je ne me souviens pas de l'heure quand même, je ne suis pas psychopathe à ce point), jusqu'à aujourd'hui.

Du coup, rien que pour cela, j'ai l'honneur aujourd'hui de lui décerner la palme d'or du calme olympien et de la patience à toute épreuve. Parce que comme vous avez pu l'entrevoir, je ne suis pas forcément la fille la plus facile à supporter tous les jours.

C'est mon petit (grand) côté Gremlins. C'est pour cette raison qu'on me surnomme ainsi depuis mes 5 ans. Mais Dieu dans sa grande magnanimité a préféré Guizmo à Gremlin, c'est sans doute parce qu'il préfère mon bon à mon mauvais côté.

Il n'empêche que malgré toute préférence, il a toujours été là. Et même lorsqu'il perdait patience et partait en claquant la porte, il ne restait jamais loin de moi.

En fait Dieu, c'est une des très rares personnes pour laquelle je suis intimement persuadée qu'il restera dans ma vie. Plus ou moins proche, mais toujours là. Même dans 50 ans. Même quand je serais vieille moche et aigrie, et que mes seuls sujets de conversations seront mes rides et ma libido en berne. Il sera toujours là pour me consoler, me faire rire et m'écouter.

Et moi aussi je l'écouterai parler : parler de son bide qu'il n'arrivera plus à perdre, de ses cheveux qu'il aura alors définitivement perdu, et de ses articulations qui le feront souffrir.

Et puis on se retrouvera devant une Xbox, avec un café, en souvenir du bon vieux temps.

 

 

 

 

1 septembre 2011

danses ou meurs

 

ChebaDine

Je ne me sens jamais plus libre, maître de moi même, belle et heureuse que lorsque je danse.

C'est... comment vous expliquez ça... comme un orgasme libérateur. Mais un orgasme qui dure, dure... de longues minutes, toujours et encore plus. Une sorte de transe. Quelque chose qui m'emporte loin.

Ne plus sentir ni l'emprise du temps, ni la gravité, ni l'air autour de soi.  Avoir l'impression de faire partie d'un tout : d'être totalement intégré au reste du monde.

C'est ça la danse. Un corps qui bouge qui se déplace, mais aussi et surtout un esprit qui se libère.

Je danse comme je respire. Toujours comme si c'était la dernière fois, comme si j'allais mourir l'instant d'après.

Mais la danse ça n'est pas que plaisir. La danse c'est le travail permanent de son coprs, le dépassement continu de ses capacités.

La danse c'est ingrat, plus votre niveau est élevé, plus vous souffrez. Le corps s'obstine souvent, refuse d'obéir. Il faut toujours et toujours plus de courage et d'acharnement pour progresser. Plus vous grimpez plus la pente s'accentue.

Mais quelle joie lorsque le corps se débloque, lorsque l'esprit peut de nouveau se laisser emporter.

La danse c'est ma vie.

Je mourrais en dansant.

29 août 2011

Bilan

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Ma fille,

Après 8 mois de séparation et de travail sur toi un bilan s'impose. Tes choix ont-ils été les bons, ou comme tous se plaisaient à te le dire : t'es tu magistralement plantée ? As tu atteint certains de tes objectifs ? Es tu en paix avec toi même ?

Tu te souviens pourtant de ce jour comme si c'était hier. La tristesse, suivit du désespoir, la décéption, et puis la colère. Une colère qui t'as accompagnée longtemps. Colère, rancune, angoisse, amour et haine mélangées. Un cocktail explosif qui prenait feu régulièrement
Ce fût difficile. Mais au moins tu t'exprimais.

Cependant le plus difficile fût encore de savoir ce que tu voulais, et ce qui était le meilleur pour toi. Plus difficile car tous les gens de ton entourage et du sien étaient apparemment mieux informés que toi sur tes désirs et tes besoins, ainsi que sur les siens. Votre choix était selon ces mêmes personnes, bizarre, anormal, malsain. Il était alors d'autant plus difficile pour toi de réfléchir posément. De faire la part véritable des choses. En définitive, il s'est avéré que tu avais fait le bon choix. Que tu étais effectivement la SEULE personne capable de déterminer ce qui était bon pour toi. Et aujourd'hui tu es fière et heureuse de ne pas avoir suivi leurs conseils et d'avoir respecté tes propres désirs.

Tout ça n'a pas été sans difficultés, et tout cela n'est pas non plus terminé. Mais le plus gros du chemin est effectué. Il n'empêche qu'il a parfois été douloureux ce chemin ; que tu as parfois un peu déconné et que vaincre tes angoisses profondes a demandé du courage.

Ce mal au fond de toi qui parfois t'empêchait de respirer, qui te prenait aux tripes comme un étau. Cette douleur tellement profonde, à l'intérieur, qui te donnait parfois l'envie de te faire aussi du mal. Ce mal, cette douleur, tu ne les as pas expulsé, non, tu as appris petit à petit à les gérer seule, à les marginaliser, à leur faire peur et mal à eux aussi ; aujourd'hui ils te laissent en paix la plupart du temps, la guerre n'est pas gagnée mais la victoire est proche.

D'aucuns parleraient de deuil, de fin de quelque chose. Je parlerais plutôt d'un commencement : de l'accouchement dans la douleur, la sueur et le sang d'une nouvelle sorte de relation.

Et comme te le diront toutes les jeunes mamans " L'accouchement ? On oublie vite, car le bonheur qui suit est tellement grand !"

Tu as déjà commencé à oublier, et ton bonheur tu le touches du doigt, bientôt il sera à toi.

21 août 2011

Un château hanté

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Il y a des jours, des soirs comme ça.

Où un simple bon souvenir peut se transformer en une colère et une tristesse sourde.

Ce souvenir te rappelle ta condition présente. Et une question te taraude : Comment est-il possible que nous ayons pu laisser la situation dégénérer à ce point ?

Pourquoi n’avons-nous pas réagi ?

Comment ? Pourquoi ?

La situation défile dans ta tête, les événements s’enchaînent un à un. La catastrophe se fait plus claire. Malgré cela, tu ne trouves pas de réponses à ta question : Comment se fait-il que j’ai pu être aveugle au point de ne pas le voir avant qu’il ne soit trop tard ?

Alors tu tentes, tant bien que mal de trouver un début de réponse.

Il est peut être simplement humain d’être aveuglé parfois. Lorsque la situation semble insurmontable. Il est peut être humain de croire que tout peut s’arranger en un claquement de doigt. Il est totalement humain de croire que l’on a l’éternité devant nous.

Et puis c’est cette notion de  « destin » qui est trompeuse : si ça arrive, c’est que cela devait arriver. C’est facile, ça déresponsabilise. Plus rien ne peut être de notre faute !

Et bien si.

Le plus terrible est de s’en rendre compte alors qu’il est trop tard et qu’il ne reste plus que des ruines de notre grand projet.

Cette prise de conscience, soudaine et violente, te donne alors envie d’hurler, de t’arracher les cheveux, de te lacérer : de te punir …  Tout cela pour avoir été aussi aveugle et stupide. Tu pleures comme un enfant surpris en train de voler un bonbon. Cela te fait l’effet d’un électrochoc.  Tu jures que tu ne recommenceras plus.  Et en effet, traumatisée, tu tiendras ta promesse. Même si pour cette fois-ci, il est trop tard.

Et puis tu te ressaisis, la vie doit continuer malgré tout. Tu reprends ta marche. L’envie d’abandonner est forte. Mais elle ne dure jamais longtemps. Il t’arrive parfois de reculer.  Un, deux, trois, pas… Et tu te reprends encore une fois. De nouveau, tu luttes de toutes tes forces. Il est hors de question pour toi de laisser l’inondation gagner du terrain une nouvelle fois.

Tu n’as pu ni sauver les meubles, ni la maison la première fois, mais tu ne te laisseras pas avoir une deuxième fois.

Tu contemples une dernière fois votre œuvre en ruine. Tu te souviens du magnifique château que vous aviez bâti, tu te souviens qu’il avait l’air solide, à l’épreuve de tout. Tu te souviens avoir cru qu’il pouvait durer toujours. Et pourtant, aujourd’hui, seuls deux pans de murs tiennent encore. Le reste n’est que ruine. Il n’est plus temps, ni possible de reconstruire : alors tu décides de prendre soin des deux murs qu’il reste, parce qu’il te tient à cœur de les conserver intacts. Et tu pars à la recherche d’un nouveau château à bâtir.

Le terrain te semble parfait, mais cette fois-ci tu ne te laisseras pas avoir, tu construiras la digue assez haute pour résister aux inondations.

Cependant lorsque tu penses à tout le travail que cette nouvelle construction va te demander, tu as peur.  Ce sera long, laborieux, un château ne se construit pas en un jour. Et c’est bien ce qui t’angoisse. Tu aurais bien besoin de pouvoir t’abriter dés maintenant quelque part. Mais ton ancien abri est détruit et le nouveau n’a même pas encore de fondation.

Tu es un sans logis affectif .

Alors pour le moment tu t’abrites au pied des deux pans de murs encore debout, en attendant que la tempête passe.

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2 février 2011

Les 10 commandements


n°1
: Tu prendras soin de toi.


n°2 : Tu apprendras à être seule avec toi même.

n°3 : Tu ne seras point trop jalouse, tout ça c'est dans ta tête.

n°4 : Tu apprendras à être heureuse. Seule, aussi.

n°5 : Ton indépendance sentimentale est aussi importante que ton indépendance physique.

n°6 : Te plaire à toi même passe avant tout.

n°7 : Tu apprendras à garder ton calme.

n°8 : Tu ne seras pas naïve. Mais tu n'oublieras pas d'être romantique.

n°9: Tu aimeras ta (sa) voisine. Même si tu trouves qu'elle se conduit comme une salope. (cf n°3)

n°10 : Tu sauras rester toi même, malgré tout.

9 décembre 2010

Lettre à Moscou

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Très chère Moscou,

Ce que j'ai à te dire n'est pas facile, mais pourtant je tiens à te le faire savoir. Depuis notre retour à Paris je ne pense qu'à toi. Oui, Moscou, tu me manques. C'est pas faute d'avoir essayé de t'oublier et de retourner à la vie normale. Moscou, tu es une ville épatante. Je savais en allant te rendre visite que je passerais un excellent moment, mais que ce serait le coup de foudre, ça je ne m'en doutais pas un seul instant.
En ton sein, et quasiment dés mon arrivée, je me suis sentie comme chez moi. Je ne comprenais rien à ta langue, je ne pouvais lire tes panneaux publicitaires, et pourtant je me sentais comme un poisson dans l'eau.

Tu es superbe, gracieuse, charmeuse, envoûtante.

Tu te demandes sûrement ce qui me plaît tant chez toi, je vais te le dire : Tes anachronismes permanents, tes vieilles églises orthodoxes qui côtoient de grosses barres en béton de l'époque soviétique. Tes vieilles voitures au milieu d'autres flambantes neuves. Tu es une ville chargée d'histoire, et il est impossible de ne pas le remarquer, une histoire dense, magique, tragique, un concentré d'émotion à tous les coins de rue.
Tes habitants aussi, respectueux, qui prennent soin de toi. Ton métro est une œuvre d'art à lui tout seul !
Ta place rouge, et ses hot-dog.
Ton chocolat du café Pouchkine, le meilleur que j'ai pu boire de ma vie.
Ton ambiance en générale, celle d'une grande ville mais une ville détendue. Une ville qui sait vivre, et se laisser aller.
Ta classe sans égale, chez toi, pas de Carrie Bradshaw ni de mode vulgaire à la sex and the city. Seulement du bon goût.
Moscou, tu me manques, et quand je pense à toi je t'imagine en cette saison, couverte par un manteau de neige. Tu dois être en cet instant, plus belle que jamais.

Moscou, je te promets, que cette année, l'année prochaine ou même dans vingt ans, peut importe en fait le temps que cela prendra : Je reviendrais.

7 décembre 2010

Sont fous ces Byzantins !

En fac d'Histoire on s'amuse comme des petits fous. Enfin surtout en cours d'Histoire Byzantine. Cours, riche en émotions, qui peut nous faire passer en quelques minutes de la franche rigolade à la consternation la plus totale.
Nos ancêtres les gaulois que sont Astérix et Obélix ont pour habitude de dire "Ils sont fous ces Romains!". Mais ça, c'est parce qu'ils n'ont pas eu l'occasion de connaître les Byzantins, sinon il est probable que leur phrase favorite aurait été "Ils sont fous ces Romains ! Mais pas autant que les Byzantins!".
Mais enfin, en quoi sont-ils si spéciaux ces gens ? Je m'explique.
Tout d'abord il faut savoir que l'Empire Byzantin, peut aussi, et même se nomme plus exactement : Empire Romain d'Orient. Il est en fait un savant mélange de culture Romaine et Orientale avec en toile de fond : la diffusion du christianisme, son instauration comme religion d'état et la lutte contre le paganisme. Ce que l'on pourrait résumer plus simplement par : Un joyeux bordel.
Tout d'abord, ce qui fait la particularité de cet empire est la façon dont il a intégré les concepts du Christianisme et du Dieu unique et ce dans les plus hautes sphères du pouvoir. L'empereur Romain est normalement nommé sur le principe d'élection, c'est à dire qu'il doit être le plus apte à exercer la fonction d'empereur.
Chez les Byzantins, ce principe d'élection se transforme en élection divine. L'empereur est en fait choisi par Dieu.
Mais, Dieu peut revenir sur sa décision non ? Et si l'élu n'était en fait pas l'élu ?
C'est là que les Byzantins ont inventé le principe de meurtre par élection divine. "J'ai tué l'empereur, certes, mais c'est Dieu qui le voulait ! Parce qu'en fait... c'est Moi l'élu !"
Facile !
Du coup, rester sur le trône plus de quelques années relevait quasiment du miracle (divin toujours, évidemment!).
La question que l'on se pose alors est la suivante : Les Byzantins ont-ils lu l'ancien testament ? Tu ne tueras point, ne leur dit apparemment pas grand chose.

Pour le moment, je pense que le lecteur cultivé que tu es n'est pas fondamentalement surpris par ces révélations fracassantes. Normal, encore aujourd'hui on nous sert ce genre de salade.
Mais attention la suite risque de te surprendre un peu plus.

Toujours dans notre affaire de religion chrétienne, ce sont les Byzantins qui ont inventé le monachisme (entendre par là le concept de monastères, et donc de moines). Tout le monde je pense en connaît le principe : mener une vie isolée, faite d'ascèse et de sacrifices matériels. On peut se demander à quel degré se situait leur côté masochiste pour en arriver là, mais là c'est une autre histoire.
C'est en Syrie que se trouvait les formes les plus "extraordinaires" (dixit ma prof d'amphi) de monachisme.
En effet, on pouvait y observer une espèce très particulière (oui, là je parle d'espèce, parce qu'à mon humble avis, ces gens n'étaient juste pas humains) de moines : Les Moines Brouteurs (VÉRIDIQUE !). Ces moines renonçaient à toutes nourritures cuisinées et ne se nourrissaient que de baies, racines, et même selon certaines rumeurs broutaient de l'herbe...
Leur argument était qu'il fallait revenir à la simplicité de vie d'Adam. Deux questions me sont alors venues à l'esprit : étaient-ils au courant qu'Adam, avant la tentation, n'avait simplement pas besoin de se nourrir ? Et surtout... Vivaient-ils nus eux aussi ?
Encore plus étonnant : les Moines Stylites. Ceux là, vivaient au sommet d'une colonne. Oui, tu as bien compris : au sommet d'une colonne, comme celles que tu as pu voir lors de ton dernier voyage en Grèce ou à Rome. Et non ce n'est pas une blague.
En se mettant ainsi au dessus du sol, ces gens croyaient pouvoir rompre avec les soucis et les considérations humaines. Mais surtout, leur principale motivation était de se rapprocher des anges, et de Dieu.
C'est qu'elles devaient être sacrément hautes leurs colonnes ! Peut être même est-ce de là que vient l'expression : être perché !

Mon billet a déjà atteint une certaine longueur. Et je suis persuadée que tu as bien mieux à faire dans l'immédiat. (Te curer le nez, te gratter les pieds...)
Je vais donc m'arrêter là pour cette fois ! Mais ne désespère pas, la semaine prochaine, les Byzantins risquent fort de faire un come-back fracassant !

6 décembre 2010

Renouveau

Il n'y a pas si longtemps je passais quelques heures par jour sur un blog à retranscrire, mes pensées, mes aventures, mes sentiments.
L'aventure s'est arrêtée lorsque j'ai cru que je n'en avais plus besoin. C'était effectivement le cas.
Aujourd'hui après un étonnant retour en arrière je me retrouve sur ce blog. Je ne sais pas encore dans quel sens il va évoluer, ni quelle tournure mes écrits vont prendre.
Nous verrons. En attendant, lecteur, je ne te demande que deux choses : soit indulgent mais n'hésite pas à me faire part de tes impressions, qu'elles soient bonnes ou mauvaises.

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